Atelier | La Chapelle-Saint-Luc | année de conception 2019 | Il s'agit du projet de rénovation et d'extension d'un bâtiment appartenant aux services techniques du Conseil Départemental de l’Aube. Atelier mécanique et chaudronnerie La Chapelle-Saint-Luc | 1817 m² | 1 383 425 € ht | année de conception 2019 Natalina da Costa, Frédéric Hérard | Exatec | Seti | i-Terra | Crn Brocard | Acr Métal | Adc | Davulian | Champagne Métallerie | Champagne Menuiserie | Hingant | Lamblin | Stertil | Masson | Crm Elec Lien Externe Il s'agit du projet de rénovation et d'extension d'un bâtiment appartenant aux services techniques du Conseil Départemental de l’Aube. Le bâtiment existant dédié aux ateliers de mécanique est une halle en charpente métallique composée de 5 travées de 7 mètres de large et 30 mètres de long. Chaque travée est fermée par une porte sectionnelle de 4,2 mètres par 5 mètres de hauteur, créant ainsi une longue façade animée au gré des travaux de mécanique. Sur le pignon sud-ouest de la halle est adossé un bâtiment de 12 par 30 mètres construit en maçonnerie sur deux niveaux. Il accueille les espaces chauffés tels que locaux sociaux, vestiaires, bureaux, … Nous avons rénové l'ensemble des locaux existants, notamment amélioré l'isolation et l'éclairage naturel en remplaçant les portes sectionnelles et les puits de lumière par des modèles plus performants et transparents. Sur le pignon sud-est, nous venons ajouter un bâtiment d'environ 400 m² de surface pour accueillir l'atelier de chaudronnerie et un auvent de stockage/recyclage. Les matériaux employés sont dans la continuité du bâtiment existant, structure métallique et polycarbonate alvéolaire pour apporter plus de lumière à l'intérieur. La connotation industrielle est pleinement assumée dans un camaïeu de gris qui sert de fond au bourdonnement du travail quotidien. On retrouve une poésie dans les différents degrés de transparence, texture, ombre et brillance des matériaux. Façade Plan de rez-de-chaussée

Logements séniors | Saint-Memmie | année de conception 2012 | Découvrir le terrain fut une agréable surprise, nous nous retrouvons entourés de végétation, presque à oublier que nous sommes enclavés dans une site densément urbanisé situé à un kilomètre de Châlons-en-Champagne. Villas Solaris Saint-Memmie | 784 m² | 1 213 000 € ht | année de conception 2012 Natalina da Costa, Frédéric Hérard | Bourgogne Structure | Seti | Paysagistes d'Europe | DP Construction | AUER | AFM Leroy | Davulian | CRM Elec | Meuse Paysage | Philippe Ruault Découvrir le terrain fut une agréable surprise, nous nous retrouvons entourés de végétation, presque à oublier que nous sommes enclavés dans une site densément urbanisé situé à un kilomètre de Châlons-en-Champagne. Nous souhaitons que le projet préserve cet '"esprit du lieu", que l’on garde l’impression étonnante de rentrer dans une ‘oasis de verdure’. Pour minimiser l’impact des constructions dans le site nous optons pour encastrer partiellement les maisons dans la pente. Nous cherchons à garder un maximum de surface plantée (y compris la toiture). Depuis la partie haute du terrain, les bâtiments sont "camouflées", on voit une succession de plateaux plantés. Chaque logement bénéficie d’une double orientation. Nous privilégions le séjour et les chambres avec de grandes ouvertures orientées sud-est. Les espaces 'servants' (salle de bains, cuisine, cellier) sont exposées nord-ouest et possèdent des ouvertures plus restreintes pour éviter les déperditions thermiques et préserver l’intimité. Coupe longitudinale Plan de masse

Opération de logements | Rosières-près-Troyes | année de conception 2018 | Le projet se situe à Rosières-près-Troyes, en périphérie de la ville de Troyes. Les typologies existantes dans le contexte proche sont d'expression et d'échelle très diverses. Maisons des deux haies Rosières-près-Troyes | 492 m² | 689 965 € ht | année de conception 2018 Natalina da Costa, Frédéric Hérard, Stéphanie Matilde | Exatec | Seti | iTerra | Acr Métal | Davulian | Lambert | Santin | Olm | Charrier | Rgc | Crm Elec | Harand Paysagiste Lien Externe Le projet se situe à Rosières-près-Troyes, en périphérie de la ville de Troyes. Les typologies existantes dans le contexte proche sont d'expression et d'échelle très diverses. On peut y trouver des surfaces commerciales de grande et de petite taille, des bâtiments artisanaux, du logement social collectif (jusqu'à 9 étages), des maisons individuelles, des champs cultivés… La forme du bâtiment cherche à s'intégrer parmi cette diversité, nous nous sommes inspirés du modèle des "cités jardin" du XIXème siècle. Les maisons sont en bande, pour avoir la lecture d'un seul bâtiment et créer ainsi un sentiment de cohésion, d'appartenance à un voisinage, à un quartier. Un seul bâtiment mais, chaque façade est différente, de façon à bien marquer l'identité de chacun dans un ensemble commun. Les toitures sont à double versant, un clin d'oeil aux pavillons voisins : nous composons avec la réalité existante. L'espace public côté entrée est le lieu d'échange entre voisins, les garages sont ouverts et partagées pour favoriser les possibilités de rencontre. La meilleure exposition est côté jardin (sud-est), avec des ouvertures plus généreuses. Les salles de bains sont toutes éclairées naturellement et donnent sur le jardin arrière, pour préserver l'intimité des usagers. Les logements sont traversants et bénéficient de hauteurs sous plafond variées de deux et demi à cinq mètres. Nous avons tenu à proposer des espaces "hybrides" permettant de diversifier les usages. L'auvent ouvert sur la rue peut servir à se garer, comme à faire du tricycle à l'abri ou encore à accueillir la tablée de la fête des voisins… Le jardin d'hiver privé à l'arrière donne sur la cuisine et peut servir de séjour pour manger dehors en inter-saison, il peut aussi devenir la salle de jeux pour les enfants, grenier, ou encore serre horticole pour faire pousser un potager… Coupe longitudinale Plan d'étage Plan de rez-de-chaussée

Unité médicale | Pont-Sainte-Marie | année de conception 2015 | Ce projet est l'extension et la réhabilitation du Service d'Addictologie du Centre Hospitalier de Troyes, dénommé unité Jean-Schiffer. Service d'addictologie Jean Schiffer Pont-Sainte-Marie | 470 m² | 390 041€ ht | année de conception 2015 Natalina da Costa, Frédéric Hérard | Bourgogne Structure | Seti | Geciba | Obs | Davulian | Alu Châtillonnais | Menuiserie Champenoise | Lamblin | Masson | Aubelec | L'atelier de Valérie Lien Externe Ce projet est l'extension et la réhabilitation du Service d'Addictologie du Centre Hospitalier de Troyes, dénommé unité Jean-Schiffer. Le bâtiment se situe à Pont-Sainte-Marie, dans un site externe à l'hôpital : le Domaine de Nazareth. Le bâtiment existant est une ancienne maison bourgeoise qui occupait seule un parque avant que le site revienne au CHT. On y accueille des personnes souffrant d'addictions diverses en séjour de courte durée. Nous souhaitions que les nouvelles constructions s'inscrivent discrètement, sans perturber la lecture du volume de l'ancienne maison. Ainsi, l'extension vient s'installer derrière le bâtiment existant, jusqu'en limite de propriété. L'emplacement est d'autant plus évident que les circulations horizontales et verticales se situent déjà à l'arrière. L'extension assume un langage contemporain, la continuité entre l'ancien et le nouveau se fait par la couleur. Pour dégager de l'espace sur la façade arrière, nous avons creusé jusqu'en limite de propriété. Nous avons détourné l'usage des blocs en béton des murs de soutènement généralement utilisés dans les talus des autoroutes pour créer ici un mur végétal comme paysage de fond pour le réfectoire. Plan de rez-de-chaussée Coupe longitudinale

Projet - médiathèque | Saint-Lyé | année de conception 2016 | Le projet consiste à créer une médiathèque dans une ancienne longère, intéressant exemplaire d'architecture vernaculaire. Médiathèque de Saint-Lyé Saint-Lyé | 186 m² | 300 000 € ht | année de conception 2016 Natalina da Costa, Frédéric Hérard Lien Externe Le projet consiste à créer une médiathèque dans une ancienne longère, intéressant exemplaire d'architecture vernaculaire. Notre première intention était de réparer la toiture existante, ce qui s'est avéré impossible car elle était trop abîmée. Après quoi, nous nous sommes posés la question, pourquoi refaire un grand manteau sombre, alors qu'une bibliothèque se veut lumineuse? En contrepartie, nous avons opté pour créer un étage, ce qui permet de gagner plus de surface utile et d'avoir plus de lumière naturelle. Le nouveau plancher repose sur une fine structure métallique placée à l'intérieur de l’enveloppe existant, au dessus des poutres existantes, préservées pour ne pas fragiliser la stabilité des murs que nous conservons. Ancien et nouveau ne superposent pas, un dialogue se noue entre eux. Le dessin de l’étage vertical et régulier confère un certain classicisme au bâtiment, en accord avec le nouveau programme à caractère public. Plan de rez-de-chaussée Plan d'étage Coupe transversale Existant Façade est Façade ouest Coupe longitudinale Plan de rez-de-chaussée Plan d'étage Coupe transversale Projet Façade est Façade ouest Coupe longitudinale

Foyer associatif Association Jeunesse de l'Aube | Troyes | année de conception 2020 | Il s'agît d'un projet de réhabilitation d'une ancienne maison bourgeoise et de son jardin agrémenté de grands arbres remarquables tels qu'un cèdre d'Atlas, un noyer d'Amérique ou encore un cèdre du Lyban. L'Olivier La Chapelle-Saint-Luc | 464 m² | 651 586 € ht | année de conception 2020 Natalina da Costa, Frédéric Hérard, Stéphanie Matilde | Savart Paysage | Capristo | Dybiec-Obs | Acr Métal | Alu Châtillonais | Beau Masson | AMP3 | Lamblin | Olm | Solstis | Idee Service | Deoust | i-Terra Il s'agît d'un projet de réhabilitation d'une ancienne maison bourgeoise et de son jardin agrémenté de grands arbres remarquables tels qu'un cèdre d'Atlas, un noyer d'Amérique ou encore un cèdre du Lyban. La maison devait accueillir une dizaine de jeunes pris en charge par l'association de protection de l’enfance Action Jeunesse de l’Aube. Notre souhait a été de préserver le caractère chaleureux et familial du bâtiment existant. Quelques extensions contemporaines de qualité médiocre ont été démolies. Une chambre accessible en fauteuil roulant et les espaces partagés ont été aménagés au rez-de-chaussée, notamment la salle d'activités très ouverte sur le jardin, puis, à l'étage, sept autres chambres et une salle réservée à l'étude. Les locaux du personnel se situent sous les combles de la maison principale. Sont ouverts au public l'ancien atelier de bricolage transformé aujourd'hui en salle socioculturelle et une bonne partie du jardin sur lequel une aire de jeux a été construite Un des souhaits de l'association et de s'ouvrir à la communauté, c'est un facteur important pour la socialisation des jeunes. Les enfants ont choisi d'appeler cette maison l'Olivier en raison de la couleur choisie pour les façades. Plan de masse

Blanchisserie | Brienne-le-château | année de conception 2017 | Le projet se situe dans l'enceinte du château de Brienne-le-Château, aujourd'hui occupé par l'Etablissement Public de Santé Mentale de l'Aube. Blanchisserie de l'Hôpital de Brienne-le-château Brienne-le-château | 602 m² | 933 886 € ht | année de conception 2017 Natalina da Costa, Frédéric Hérard, Stéphanie Matilde | Epsma | Cofitex | Crn Brocard | 3ia | Aubelec | Crd | Process Jensen | Ecolab | Alu Châtillonais | Philippe Ruault Lien Externe Le projet se situe dans l'enceinte du château de Brienne-le-Château, aujourd'hui occupé par l'Etablissement Public de Santé Mentale de l'Aube. Autour des années 1970, on y a fait construire un bâtiment qui abrite une blanchisserie et la chaufferie qui alimente tout le complexe. Il s’agit d’un bâtiment au langage rationaliste, au dessin soigné et très cartésien. Une seule façade est visible, car le bâtiment est semi-enterré en contrebas du château, elle sera conservée autant que possible. Le projet vise à agrandir la blanchisserie et améliorer les conditions de travail du personnel. La forme courbe permet de varier la largeur de l'extension selon les besoins du programme en espace et en lumière. Plus étroit pour un chargement/déchargement facilité pour les camions, en dehors du domaine public. Plus large pour incorporer les espaces qui nécessitent de lumière naturelle et doivent se rapprocher de la façade. Le choix de la courbe pour l'extension vise à établir un dialogue entre deux entités complémentaires. D'un côté le bâtiment existant, orthogonale, rationnel et vertical, de l'autre, l'extension courbe, fluide et horizontale. Façade principale Coupe

Projet - maison d'habitation | Avirey-Lingey | année de conception 2012 | Le terrain forme un grand carré aride. Il paraît grand parce que la pente l'expose entièrement. Exceptant un vieux noyer, rien ne pousse dessus, le sol est trop caillouteux et pentu.  Maison Roc Avirey-Lingey | 227 m² | 250 000 € ht | année de conception 2012 Natalina da Costa, Frédéric Hérard Le terrain forme un grand carré aride. Il paraît grand parce que la pente l'expose entièrement. Exceptant un vieux noyer, rien ne pousse dessus, le sol est trop caillouteux et pentu. Comment y implanter une petite maison sans que ce soit un objet qui s'exhibe sur la pente? La réponse a été de fragmenter le bâtiment en plusieurs volumes qui progressaient verticalement depuis la route. De façon à adosser la maison au site et à l'exploiter d'avantage en se déployant sur plusieurs niveaux. Le premier volume se situe presque au niveau de la route, de façon à éviter une pente inclinée pour l'accès au garage. Les pièces de vie viennent s'installer en hauteur sur ce volume pour profiter d'une vue imprenable sur la vallée de la Sarce, la couverture du garage devient ainsi une terrasse. Ce projet souhaitait préserver l'orographie naturelle du terrain, la maison devait, pour nous, ressembler à un rocher qui sortait du sol. Le béton contribuait à lui donner ce caractère rocailleux. Plan de rez-de-chaussée Coupe transversale

Maison d'habitation | Troyes | année de conception 2019 | Le bâtiment existant est classé de "grand intérêt architectural", protégé par le Plan de Sauvegarde et Mise en Valeur de la ville Troyes. Maison Art Déco Troyes | 36 m² | 58 300 € ht | année de conception 2019 Natalina da Costa, Frédéric Hérard, Stéphanie Matilde, Anthony Faivre | Capristo | Csb | Davulian | Alu Châtillonais | Xavier Baldi | Hingant | Olm | Rouquet Rebours | MV Réalisations | Claire Santos Lien Externe Le bâtiment existant est classé de "grand intérêt architectural", protégé par le Plan de Sauvegarde et Mise en Valeur de la ville Troyes. Datant du début du XXème siècle, il présente des caractéristiques propres de l’art déco, comme l’asymétrie des façades, des éléments ornementaux en béton tels que les balustrades des balcons, des corniches dessinées et travaillées en relief, des gardes-corps et des marquises en ferronnerie soigneusement dessinés et l'appareillage en pierre calcaire contrastant avec le dessin raffiné avec les éléments en béton peints en blanc. Le choix de la forme arrondie pour l'extension évoque ce goût pour les formes courbes et fluides propre à l'art nouveau et à l'art déco. Le choix du blanc lisse reprend l'aspect des éléments en béton existants. Comme beaucoup de maisons de cette époque, celle-ci est surélevée para rapport au jardin, pour des raisons hygiénistes et parce que le rez-de-chaussée est réservé à la voiture récemment arrivée. Les propriétaires manquent d'un contact direct avec leur jardin depuis la maison, notamment pouvoir manger à l'extérieur. Par ailleurs, la cuisine est exiguë, à l'époque c'était une pièce destinée au personnel domestique. L'extension vient proposer à l'étage un séjour attenant à la cuisine et un petit balcon pour manger dehors. Un escalier intérieur mène au rez-de-chaussée où se situe la salle de jeux des enfants ouverte sur le jardin. Le balcon est en porte-à-faux au dessus du petit passage permettant d'aller au jardin directement depuis la rue. Il est suporté par deux poteaux en acier adossés au mur mitoyen et la terrasse créée est en platelage de lames de bois naturel. Les murs et les façades sont en ossature bois, revêtus de panneaux d’aluminium laqués en blanc. Les menuiseries sont en aluminium de teinte blanche identique à la façade. plan de masse axonométrie Plan d'étage Façade arrière Coupe détaillée Coupe

Maison d'habitation | Landreville | année de conception 2010 | La maison vient s'inscrire dans un verger penchant vers le sud. Nous l'avons implantée de façon à préserver les arbres existants et aussi à profiter du feuillage d'été pour ombrager les baies vitrées. Maison Caméléon Sélectionné en 2012 dans le cadre de l'exposition "10 architectures responsables" réalisée par le Conseil Régional de l'Ordre des Architectes de Champagne-Ardenne Lien Externe Landreville | 136 m² | 140 000 € ht | année de conception 2010 Natalina da Costa, Frédéric Hérard | AFCM | Fabrice Déchaud | Alu Châtillonnais | Davulian | Menuiserie Champenoise | OLM | Philippe Ruault La maison vient s'inscrire dans un verger penchant vers le sud. Nous l'avons implantée de façon à préserver les arbres existants et aussi à profiter du feuillage d'été pour ombrager les baies vitrées. Les clients souhaitaient une maison pour vieillir, dans laquelle ils pourraient éventuellement se déplacer en fauteuil roulant. Le terrain est incliné, nous avons décidé de créer deux niveaux décalés de 90 cm, reliés par une rampe praticable en fauteuil roulant électrique. Ainsi, il est possible de sortir dans le verger à partir de chaque pièce. La différence de 90 cm place le plan de travail au niveau du sol, une situation insolite, où l'on est simultanément 'à table' et 'par terre'. La maison est destinée à un couple sans enfants, nous avons donc cherché à limiter le cloisonnement pour que les clients profitent pleinement de l'espace. Lorsque les propriétaires reçoivent des invités, deux 'murs coulissants' peuvent être déployés pour refermer leur chambre et une partie du bureau qui devient ainsi chambre d'amis. Pour préserver le paysage existant, nous avons employé en façade un matériau réfléchissant qui restitue son environnement – l’aluminium. La toiture est visible depuis la route, en contrebas, la couverture plantée prolonge le récit végétal. Notre choix s'est porté sur une couverture horizontale pour ne pas occulter le paysage lointain. Plan rez-de-chaussée Coupe transversale